Abstract:
Après avoir vu les relations entre les pays du Bassin du Nil nombreux des tensions au cours du siècle dernier, fait de ces pays. donner la priorité. la langue de la raison et de laisser les voies de la contestation, et. pris fin cette coopération pour essayer de trouver un nouvel ordre régional qui régit l’utilisation de la rivière du Nil,. travers ce qui. été conclu. partir de: Accordcadre sur la coopération dans le Bassin du Fleuve Nil,. connus sous le nom de «Accord d’Entebbe 2010.” Mais cet accord. fait une crise majeure dans le bassin du Nil, comme il est la profondeur du différend entre l’Egypte et le Soudan dans la zone où s’est abstenu de chaque signature, et le reste des pays du Bassin du Nil, d’autre part, qui. poursuivi sa progression est indifférent. la position de l’Egypte et le Soudan, et les. signés sur ce accord, même si les points de contention existantes six pays,. compris: l’Ethiopie, l’Ouganda, le Rwanda, la Tanzanie, le Kenya, et plus récemment. été la signature du Burundi en. Mars, 2011, au cours de la préoccupation égyptienne avec les événements de la glorieuse révolution, la révolution du 25 Janvier 2011. En face de cette crise, la question se pose de savoir ce qui peut être fourni. partir des contributions de conduite juridique des pays du Bassin du Nil vers un système juridique solide pour l’utilisation des eaux du Nil, et cela est prévu par cette recherche, qui. souligné les aspects de la coopération entre les pays du Bassin du Nil avant d’atteindre le nouvel accord, «Entebbe 2010”, puis Entebbe accord. fait une tentative de créer un nouvel ordre régional qui régit l’utilisation des eaux du Nil, et enfin. condition que les ingrédients nécessaires. la réussite du système juridique de l’eau du Nil.
